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Le Comité de nomination de la SFÉA invite les femmes à poser leur candidature pour le poste de présidente de la Société Femmes Équité Atlantique.
La Société Femmes Équité Atlantique (SFÉA) est un regroupement qui se distingue par son positionnement et son rayonnement qu’il occupe à l’échelle régionale. Il est le seul organisme à but-non-lucratif qui rassemble les forces vives du secteur Femmes acadiennes et francophones au Canada atlantique afin d’informer et de mobiliser les femmes acadiennes et francophones et la population en général à la problématique de l’absence d’équité socio-économique.
Les femmes intéressées à poser leur candidature pour le poste de présidente bénévole, peuvent s’informer d’avantage au sujet des accomplissements de la SFEA en visitant le site Internet www.featl.ca ; www.featl.ca/projets.html.
Le comité de nomination recherche les qualités suivantes lorsqu'il émet ses recommandations pour le poste de présidente : a) la représentativité des provinces atlantiques ; b) la compétence, à la volonté et la disponibilité des candidates pour accomplir les fonctions d'administratrice ; c) la représentativité de femmes dans toute leur diversité d) le bilinguisme est un atout.
Pour plus de renseignements, communiquez avec madame Micheline Gélinas d’ici le 8 septembre 2010 au 902 433-2088; dg@femmesacadiennes.ca.
La Société Femmes Équité Atlantique composé de femmes représentantes d’organismes porteurs de dossiers féminins et de femmes leaders des quatre provinces de l’Atlantique, a été créé à l’automne 2004.
La mission de cet organisme est la suivante : La Société Femmes Équité Atlantique s’engage à accroître l’efficacité des femmes acadiennes et francophones des provinces atlantiques qui cherchent à trouver des solutions à l’iniquité socio-économique.
La Société Femmes Équité Atlantique accomplit son mandat en :
« La Société Femmes Équité Atlantique compte sur tout le monde, tant les hommes et que les femmes, pour changer et améliorer cette situation d’iniquité socio-économiques des femmes acadiennes et francophones vivant en situation minoritaire, qui touche nos grands-mères, nos mères, nos sœurs, nos filles, toute la famille et l’ensemble de la communauté. »
Source :